Audience de Constance de Huy

Constance était si impatiente de rencontrer enfin, l'homme qui fut le compaire de son tendre père.
Papa en parlait souvant..

Citation :

...Messire le duc Fauville et un homme digne, magestueux et grand bâtisseur du royaume.
Dure en affaire, il sait dirriger son monde avec une main de fer dans un gant de velour,...mais le plus impressionnant est..sa droiture,...solide comme le chêne...

..Oui, elle se souvenait fort bien de ses paroles,....ses mains commencèrent à trembler...

La scéance des audience se poursuivait tranquillement dans la salle du trone lorsque Bourguignon introduit l'invitée suivante aupres du Duc.

Messire Bourguignon, vous avez bien fait de la conduire devant moi.
Savez vous de quoi il retourne ? est ce une visite de courtoisie faisant suite à l'aggression récente de sa mère sur nos terres ou y a t il une autre raison à sa venue ?

De prime abord surpris le Duc se repris:

Oui oui, faites donc nous verrons bien en l'espèce de quoi il s'agit précisement. Il ne me semble pas avoir refusé de traité avec la Champagne mais soit, faite la entrer.

Merci messire Bourguignon, vous êtes fort aimable...

Constance s'avança vers le centre de la pièce.
Là se tenait le grand ( par la taille.. ) duc Fauville, assis sur son trône.Constance fit une révérence tout en regardant le duc dans les yeux...peut être chercha t'elle le regard de son père parmis le sien....

Votre grace, je suis heureuse en se jour d'enfin vous rencontrer.
Je ne puis que me mettre à genoux pour vous remercier de votre solicitude envers ma mère, lorsqu'elle fut sauvagement agressée.

Mademoiselle, je n'ai fais que peu de chose dans l'affaire qui concernait l'agression qu'a subie votre mère. Cela était bien tout naturel.

Est ce que la suite de votre route fut meilleure ou est ce que vous nous avez fait la joie de vous installer en Orléans ?

En faite votre excellence , ma mère voyageait seule , pour me rejoindre à Tours.
Si je suis à Orléans aujourd'hui , c'est uniquement pour vous voir messire.
Voyez vous , j'ai reçu de votre Chambellan , un courier me signifiant votre refus de collaborer en notre projet commercial.
Je respecte profondemment votre decision,...celà dit je permet de venir vous en parler de vive voix.
Voyez-vous si votre refus reste deffinitif...celà en sera fini du projet de la route de l'Est.

J'aurais tellement voulu savoir la raison de se refus...voir si nous ne pouvions pas trouver un compromis...

vous me voyez surpris d'apprendre que vous vous êtes installée dans la province voisine. Ma surprise vient sans doute des mêmes raisons qui m'ont récemment poussé à repousser la demande de traité commercial qui venait de cette province.

voyez vous la Tourraine a beau être le lieu de résidence de mon amie la duchesse Morgwen, elle n'en reste pas moins le fief des lucioles. Et tant que les lucioles bénéficierons de la protections des instances ducales, de graces et d'autres privilèges plus ou moins obscurs, ils nous semble difficile voir impossible de signer un traité ou la confiance prends une grande part surtout lorsque les termes sont essentiellement favorables à la tourraine.


Comprennez qu'il nous est impensable de travailler en confiance avec une région qui protège des brigands, brigands qui ont fait tomber Montargis, qui ont volé les armes du maine et qui ont commis nombre d'autres méfaits.

En celà , votre excellence, je vous donne intièrement raison.
La confiance doit être primordiale dans ce genre de traité.
Permettez moi alor, de m'enretourner vers mon duché et de faire le ce qu'il faut pour remédier à se problème , et ensuite de pouvoir revenir vous voir pour faire à nouveau ma demande.
Si la Touraine vous adresse un courier officiel comme quoi il nes outient pas les lucioles et les condamnes pour leurs méfaits, croyez vous possible de pouvoir commencer les négosiations ??...
Accepteriez vous ceci comme un gage d'une confiance naissente ???.

Je suis désolé d'etre si ferme mais je n'engagerai pas la province sur base d'un simple document ou d'une vaine promesse, je préfèrerai laisser au temps faire ses preuves.

Très bien votre excellence , laissons le temps au temps...
Qu' Aristot vous garde, et protège votre peuple bien aimé.

Constance fit une réverence, et rejoignit messire Bourguignon..