Elisel sourit à la Dame pour la rassurer.
Ne vous inquiétez pas, vous êtes tout à fait compréhensible. Je ne sais pas moi-même parler votre langue, et je m'en excuse.
J'espère que nous pourrons tout de même entretenir des relations cordiales, et faire un travail bénéfique.
Fouillant dans son trousseau de clefs, elle en tendit une à l'ambassadrice.
Voici les clés de votre bureau. Un page vous y guidera. Je vais faire appeler son Excellence Arfast, en charge de votre province, pour vous y rejoindre si vous avez des questions.
N'hésitez pas à signaler si vous avez le moindre problème.
Et sur un dernier salut, elle prit congé de l'ambassadrice, et donna des ordres pour qu'un page l'accompagne à son bureau.